Est-ce la fin des médias sociaux (qui décident ce qu'on aime ou pas)?
Après avoir aimé passionnément nos médias sociaux, tout comme les connexions infinies qu'ils nous permettaient, nous semblons avoir atteint un certain point de saturation.
Difficile de le croire, mais Internet a déjà été une place le fun!
Dans le magazine New Yorker, Kyle Chaykra affirme : The social-media Web as we knew it, a place where we consumed the posts of our fellow-humans and posted in return, appears to be over.
Un point de vue personnel que je partage et selon lequel les algorithmes de recommandation de contenus ont maintenant beaucoup trop de place, nous empêchant même de faire de vraies découvertes. On s’ennuie presque de fouiller, de courir d’un lien à l’autre pour enfin trouver un sujet inusité.
Lire l’article : Why the Internet isn't fun anymore
La fin des influenceurs à toutes les sauces…
Chez Mashable, Meera Navlakh explique pourquoi de plus en plus de commerces bannissent les influenceurs. On pouvait s’y attendre considérant que déjà il y a une dizaines d’années, au début d’Instagram, les restaurateurs trouvaient embêtant que des censés influenceurs allongent leur temps à table pour photographier tous les plats du meilleur angle possible. Puis on a eu le soulèvement des agriculteurs qui voyaient leur champs de lavande ou de tournesols piétinés par des apprentis stars du Web à la recherche du fond de scène parfait.
Sarah Blocksidge, a marketing director, agrees: "The reality is that some businesses just aren’t suited for the influx of people an influencer can attract, which can wind up hurting the business more than helping it."
Lire Why cafes, restaurants, and even town are banning influencers?
Le plurivers ou la vie en ligne autrement…
Pour penser hors de la boite des médias sociaux, Business Insider explore les solutions de remplacement, puiqu’il est clair que les Internautes (vieux mot que je ramène ici) veulent s’exprimer quelque part. Juste pas dans un environnment toXique ou qui se moque de la survie des médias. La solution? Le plurivers, moins radical que le métavers, plus flexible et sutout (on se croise les doigts pour que ça marche) interopérable.
Chand Rajendra-Nicolucci, who researches digital public infrastructure at the University of Massachusetts Amherst, said there's a reboot taking place now and that social media's future might be "more private and more fragmented." In a white paper published earlier this year, he and his colleagues envisioned a "pluriverse" consisting of existing platforms and an ecosystem of "very small online platforms" — private communities and niche services that host the kind of intimate or interest-specific conversations poorly served by today's digital public sphere.
Lire dans Business Insider : Great news - social media is falling apart
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